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Blois Churches Loire River

Triangles & Spires – Triangles et flèches

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I love the way the triangles on the steps form a oounterpoint to the spires of Saint Nicolas on the other side of the Loire.
J’aime bien la façon dont les triangles sur les marches font contrepoint aux flèches de l’église Saint Nicolas de l’autre côté de la Loire..

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Architecture Blois Doors Historical buildings Houses

The Bishop's Door – La porte de l'évêché

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The original bishop’s house in Blois is now the Town Hall (1698 to 1704), a much grander building. The separation of church and State in 1905 forced the bishop to find a new home. A parishioner, Germaine Marcandier donated her house just a stone’s throw away, at n° 2 rue Porte Clos Haut. Although it was probably built in the 16th and 17th century, it was renovated and redocorated by Abel Marcandier after he bought it in 1852 in the composite style of the Second Empire. I think the carriage entrance is quite magnificent.
L’actuel l’hôtel de ville de Blois (1698 à 1704) fut à l’origine l’évêché de Blois, un bâtiment bien plus grandiose que celui-ci. La séparation des églises et de l’Etat, votée en 1905, a forcé l’évêque à trouver une nouvelle demeure. Une paroissienne, Germaine Marcandier, a fait don de sa maison tout près au n° 2 rue Porte Clos Haut. Bien que la maison fut probablement construite au XVI et XVII siècles, elle fut rénovée et redécorée dans le style composite du Second Empire après son achat en 1852 par Abel Marcandier.  Je trouve sa porte cochère magnifique.
 

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Architecture Blois Doors Windows

A Very Strange Window – Une fenêtre très étrange

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I have never seen a window like the one in the middle of this photo, that is, a mullion window (with a cross-piece) above a door. From the surrounding stone, it looks like it is an original feature. Taken in Vienne in Blois.
Je n’ai jamais vu une fenêtre comme celle qui se trouve au milieu de cette photo, c’est-à-dire, une fenêtre meneau au-dessus d’une porte. Vue la pierre autour, on dirait qu’elle est d’origine. Photo prise en Vienne à Blois.

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Blois Historical buildings

Ex Voto in Vienne

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On the corner of rue Poinçon-Renversé and rue Munier in Vienne (the neighbourood in Blois across the river from the Château), this colourful ex voto was erected on 15th August 1849 in recognition of the inhabitants saved from a cholera epidemic.
A l’angle des rues Poinçon-Renversé et Munier à Vienne (le quartier de Blois en face du château), cet ex-voto bien coloré fut érigé  le 15 août 1849 en mémoire d’une épidémie de choléra.
 

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Blois Flowers and gardens

Happy Christmas from Sunny Blois – Joyeux noël depuis Blois ensoleillé

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Blois Flowers and gardens

Garden Centre Santa – Le père noël des jardins

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I think there’s a whole story going on here in our local garden centre. Not quite sure what Mother Christmas’ role is.
Je pense qu’il y a toute une histoire ici dans notre centre de jardinage. Je ne suis pas tout à fait sûre du rôle de Mère Noël.

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Blois Doors Houses

A Little Lopsided – Un petit peu disproportionné

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Let’s play “spot the difference”!
Jouons à “cherchez l’erreur” !

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Blois local customs Market

Christmas Hankies – Mouchoirs de noël

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I don’t know if many people still use handkerchiefs in France (or anywhere else in fact), but when they do, these Cholet handkerchiefs seen on the market in Blois just before Christmas, are considered to be the best choice.The history of the Cholet handkerchief goes back to the Vendée wars on the Atlantic coast of France. On 17th October 1793, the great battle of Cholet was fought with three opponents: the inhabitants of Vendée – Elbée Bonchamps, Rcohejacquelein and Stofflet,,those of Beaupuy – Travot, Marceau and Kleber – and finally, the people of Mayence . Henri de la Rochejacquelein  wore three white handkerchiefs from Cholet – on his hat, his chest and side, so that his men would recognise him – but he was a clear target for the Republicans as well. Having used one of the handkerchiefs to mop up a bloody wound, it became red with blood. It was this act of bravoury that Théodore Botrel immortalised in his song Le mouchoir rouge de Cholet in 1898. Since then, the traditional Cholet handkerchief, created by a local manufacturer, Léon Maret, has always been red with white stripes. The public, however, prefers them to be white! You can listen to the song by clicking here.
Je ne sais pas s’il y a encore beaucoup d’amateurs de mouchoirs en tissu en France (ou ailleurs) mais ces mouchoirs de Cholet vus au marché de Blois juste avant Noël, sont considérés comme parmi les meilleurs. L’histoire de ce mouchoir remonte aux guerres de Vendée. Le 17 octobre 1793, la grande bataille de Cholet oppose, d’un côté, les Vendéens, avec d’Elbée,Bonchampsla RochejacqueleinStofflet, de l’autre Beaupuy, TravotMarceauKléber et les Mayençais. Henri de la Rochejacquelein porte à son chapeau, sur sa poitrine et à son côté, trois mouchoirs blancs de Cholet, afin de mieux se faire reconnaître de ses hommes, mouchoirs qui le désignent tout aussi sûrement aux balles républicaines. Ayant utilisé un de ces mouchoirs blancs pour panser une blessure, celui-ci devient rouge de son sang. C’est cet acte de bravoure que Théodore Botrel a voulu immortaliser dans sa chanson intitulée Le mouchoir rouge de Cholet en 1898. Le public, lui, préfère les mouchoirs blancs ! Vous pouvez écouter la chanson en cliquant ici.

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Art Blois Flowers and gardens

Joan of Arc in Blois – Jeanne d'arc à Blois

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Yesterday, I mentioned the statue of Joan of Arc in Blois by American sculptress Anna Hyatt Huntingdon. I remembered having taken a photo two years ago (in better weather – it was August) in the bishop’s garden next to the town hall. It was very sunny so you can’t see her clearly but I know I was very impressed by it at the time. So this is the statue that was too good to be the work of a woman!!!
Hier j’ai parlé de la  statut de Jeanne d’Arc à Blois executé par l’Américaine Anna Hyatt Hungtindon. Je me rappelais avoir pris cette photo il y a deux ans (il faisait meilleur, c’était le mois d’août) dans le jardin d’évêché à côté de l’hôtel de ville. Il faisait très soleil alors on ne la voit pas bien mais elle m’avait beaucoup plu. Alors voici la sculpture qui était trop bien pour être l’oeuvre d’une femme !!!!

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Art Blois Blois castle

Diane in Blois

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We found a new park in Blois on Sunday. I can’t wait to go back when the sun’s out. In the meantime, here is Diane of the Chase by Anna Hyatt Huntingdon. An article in our local paper, La Nouvelle République tells the story of how the Salon de Paris exhibition in 1910 refused to give first prize to Anna Hyatt on the pretext that “It’s far too big and beautiful for a woman to have made it!” How wonderful to be a woman! Born in Massachusetts in 1876, Anna Hyatt Huntington lived to the ripe old age of 97, and is one of American’s greatest 20th century sculptresses. She was very popular in France. A copy of her Joan of Arc was presented to Blois with great pomp by the patron of the arts, J. Sanford Saltus. It met with great success and Anna became famous. She had such good memories of France that Hubert FIllay, president of the Ecole de la Loire, learnt in 1933 that she wanted to donate a statue of Diane to the city of Blois. The 2.5 metre high statue, which is stunningly beautiful from whichever angle you look at it, was eagerly accepted. Anna Hyatt even paid the 1,000 dollars needed to erect it. “I would be happy to find a place in the château’s beautiful historical gardens”. And so are we!
Nous avons trouvé un nouveau parc à Blois dimanche dernier. J’attends avec patience d’y retourner un jour de soleil. En attendant, voici “Diane la chasseresse” par Anna Hyatt Huntingdon. Un article dans La Nouvelle République en février nous raconte l’histoire: “En 1910, le Salon de Paris refuse la médaille à Anna Hyatt sous un motif admirable : « C’est trop beau et grand pour que ce soit l’œuvre d’une femme ! » Ah, il y avait des cadors !
Née dans le Massachusetts en 1876, morte presque centenaire, Anna Hyatt Huntington est l’une des plus grandes sculptrices du XXe siècle américain. Elle devait retrouver la France sous de meilleurs auspices. Une copie de sa statue de Jeanne d’Arc est en effet offerte en très grande pompe à Blois par le mécène J. Sanford Saltus. Le succès est immense, Anna est acclamée. Elle gardera dès lors de la France un tel souvenir qu’Hubert Fillay, président de l’École de la Loire, apprend en 1933 qu’elle veut faire don à la ville d’une statue de Diane. Il n’échappe pas à l’historien que l’œuvre est d’une grande beauté, éblouissante, quel que soit l’angle sous laquelle on l’envisage. Le conseil municipal accepte avec joie le don et ses 2,50 m de grâce. Qu’admirer de plus dans cette divine Diane Chasseresse aux lignes si élancées ? La force ? La grâce ? Le dialogue avec le ciel ? L’artiste offre de surcroît 1.000 dollars pour l’érection du socle. « Je serais heureuse de figurer dans les beaux jardins historiques du château. » Figurez Madame, figurez !”